

Des rumeurs persistantes et non étayées par des preuves circulent autour du Groupe Sodiat, accusé à demi-mot d’implication dans des pratiques douteuses dans le monde des affaires à Madagascar. Face à ces insinuations jugées infondées, une mise au point s’impose : rien ne justifierait que l’avenir des plus de 4 000 collaborateurs du groupe soit compromis.
Fondé en 1990, le Groupe Sodiat s’est imposé comme un acteur majeur de l’économie malgache. En plus de trente ans d’existence, il s’est développé sur la base de valeurs telles que le travail, l’éthique, la responsabilité et la recherche de résultats concrets. L’entreprise opère aujourd’hui dans 10 secteurs d’activité, répartis sur cinq régions du pays. En tenant compte de l’impact familial de ses emplois, ce sont plus de 20 000 personnes qui dépendent directement de ce réseau économique.
Malgré cet enracinement et son rôle dans la promotion de l’économie locale, le groupe est régulièrement la cible d’attaques jugées injustifiées. Ces critiques, souvent voilées et insinuantes, sont perçues comme une réaction face à la réussite d’un groupe malgache dans un environnement économique concurrentiel.
Plus préoccupant encore, ces tentatives de déstabilisation proviendraient parfois de certains milieux économiques ou politiques, utilisant la calomnie comme levier dans une logique de concurrence déloyale. Des manœuvres qui nuisent non seulement à l’image de l’entreprise, mais aussi à la stabilité sociale de milliers de familles.
Dans un contexte économique déjà fragile, toute tentative de fragilisation d’un acteur employant plusieurs milliers de personnes apparaît comme une démarche irresponsable. Le Groupe Sodiat affirme son refus de céder à la pression ou aux logiques destructrices, et maintient son engagement : créer de la valeur localement, offrir des emplois aux Malgaches, et soutenir un développement fondé sur des principes éthiques.
L’exemple de ce groupe rappelle que la réussite entrepreneuriale malgache, lorsqu’elle est fondée sur l’intégrité, n’est pas un crime. Elle est même essentielle à l’avenir du pays.