Antananarivo, le 02 Juillet 2019 – 8h : 05 mn – Éric Nazaraly RAMIANDRASOA ( Eric Naza ) et Mr et Madame LEONG (Leong Laura et Leong Siw Lone), se trouvent au cœur d’une affaire de dénigrement et d’accusations gratuites publiées par le journal « La Gazette de la Grande Île ». En effet, le 21 mai 2019, un article intitulé « Scandale foncier sans précédent : Les Consuls Honoraires en tête de liste », accompagné de sa version malgache « Eric Naza et Leon : Nomen’i Rivo RAKOTOVAO tany 500 Ha », a été publié dans les colonnes de ce journal.
Une accusation sans fondement
Surpris par ces accusations dénuées de tout fondement, le propriétaire et président de « La Gazette de la Grande Île », Lola Rasoamaharo, a rapidement réagi. Dans un démenti officiel, il a expliqué que cet incident était le résultat d’une défaillance de communication interne au sein de la rédaction. Il a également souligné que l’article incriminé avait été publié par erreur et sans validation préalable de la direction.
Une lettre officielle, signée par Lola Rasoamaharo en date du 1er Juillet 2019, accompagne cet article pour clarifier la situation. Dans ce document, le président de la Gazette Lola RASOAMAHARO présente ses excuses aux personnes citées et reconnaît que l’article a porté atteinte à leur honneur.
Ci-après, la lettre officielle signée par Lola RASOAMAHARO, Président de la Gazette de la Grande Île, en date du 1er juillet 2019
Dans sa lettre, Lola Rasoamaharo affirme : « De ce qui précède et pour vous prouver notre bonne foi, nous sommes disposés à faire le nécessaire pour pallier aux conséquences de la publication et rétablir la situation ». Il ajoute également : « Je veillerai personnellement à ce que de tels incidents ne se reproduisent plus ».
Une atteinte à l’honneur
En résumé, Éric Nazaraly et Leong sont les victimes d’un dénigrement et de diffamation par voie de presse, fondé sur des rumeurs et des malversations visant à nuire à leur réputation. Ces faits ont été reconnus et relatés par le président de « La Gazette de la Grande Île » Lola RASOAMAHARO, qui s’engage à corriger cette erreur et à restaurer l’honneur des personnes concernées.
