Refondation et changement : Riana Raymonde Randrianarisoa lance le programme R.A.V.A.O
Riana Raymonde Randrianarisoa, journaliste d’investigation et fervente défenseuse du développement durable, s’engage activement à apporter sa contribution à l’amélioration de Madagascar. À travers son projet ” Rindra Ananganana Vina amin’ny maha Olombelona (R.A.V.A.O.)” , elle entame une série d’actions concrètes sur le terrain, centrées sur l’éducation citoyenne, la spiritualité et la diffusion d’ondes positives, pour permettre à chaque individu de progresser.
Le projet R.A.V.A.O. prendra son envol demain dans la commune d’Andranomiady, située dans le district d’Ankazobe. Ce projet est une initiative personnelle de Riana Randrianarisoa, qui souhaite voir les Malgaches devenir des acteurs principaux de la refondation et du développement de leur pays. « L’objectif est de sensibiliser les Malgaches à la citoyenneté et à la spiritualité, en commençant par les niveaux les plus locaux », a-t-elle expliqué.
Le nom RAVAO, qui peut sembler être un ordre, pousse les citoyens à éliminer les éléments nuisibles de leur vie pour opérer un véritable changement. « RAVAO signifie également construire et donner une nouvelle vie », a précisé Riana, justifiant ainsi le choix du nom de son programme.
« Ce qui manque dans notre pays, c’est la volonté, la prise de conscience et la responsabilité. Il ne faut pas attendre d’être intégré dans une structure pour commencer à agir pour son pays et ses concitoyens », a déclaré Riana Raymonde Randrianarisoa. Cette approche proactive sera au cœur de la mise en œuvre du projet R.A.V.A.O.
Le programme encourage chaque individu, où qu’il se trouve, à se lever, à partager ses connaissances et à guider les autres. Il inclura également des directives sur l’éducation, le savoir-vivre et la sensibilisation au respect des lois. L’éducation spirituelle sera un aspect central du projet, car la spiritualité est une composante essentielle de l’humanité qui nécessite d’être entretenue.
Riana Raymonde Randrianarisoa a également souligné que l’objectif du projet est de visiter les 1 700 communes de Madagascar, selon les moyens financiers disponibles.
T. Ramilianta
