Chronique de Zafy Reary : Choix d’un premier ministre : QUEL SEIN à VOUER ?

Lors de b correction de dictée faite à une classe secondaire intitulée : « A quel saint à avouer ? », un professeur de français s’est étonné de voir comment ses élèves ont écrit le son « SIN ». Certains avaient comme orthographe « saint » ; d’autres ont transcrit « sain » ; et la troisième écriture faisait également son apparition : sein. « Lequel de ces trois vocables est correct ? » se demandait- Il douteusement. C’est selon ce que l’on veut appréhender ou faire comprendre. 

En effet on n’en doute point de ce que nous vouloirs signifier les vocables-sein, sain, saint. Il affirme bien : Quel sein à vouer ? Tel que l’on a déjà pressenti une nomination d’une femme premier ministre ( PM )- Faisant allusion à une femme PM française ; ou devançant Habib , prophète , malagasy ; jadis . « Mahita volona alohan’i Habib.  » ( trad lit : on prophète avant Habib ).

A qui d’ Ambohitrabiby ( Village d’ Habib ) à avouer ?

                  « Dans le doute on s’abstient. » dicte le juriste. Le catholique s’en étant sur insiste: « A tous les saints !  ». « Mais !… Quel pire ragot masculin ! » s’exclame-t-on. L’homme ose raconter qu’il faut s’agenouiller- comme on prie avant de passer à l’acte, plus précisément avant de résoudre la fonction ef de ix est égal a , moins trois ix à la puissance quatre.

                      Par quel sein nourrir alors ? Madagascar a quatre coins caractéristiquement agricoles. Et voilà « Odofés » différents districts. C’est au premier souverain de choisir. Viande ou lait. Le première ? c’est trop chaire – plus tôt chère- le second trop luxe.

Cela nous ferait plaisir d’opter vers le centre sud. Il y était déjà le temps de la seconde république. Vers le sud-est on oublie déjà le régime du « substitut ». Il vaut mieux en conséquence du grand Sud ; on se souvient bien du régime de forces vives. Du nord ou de l’est ; non ! on y fut jadis. De l’ouest. Enfin ! quel bon conseille !

                   Mais qui ? On a besoin d’une vache laitière de grosse gabarie pour tout un breuvage de la Grandi Ile ; sinon on perdra des élites puisque comme souligne bien le sage : « ventre affame n’a d’âme qui pense.

            Revenons à nos montons. On aurait dû oublier le « sain », lequel constitue un des critères pour être chef d’une institution. A l’Assemblée nationale de faire tout son possible de proposer distinctivement   un sain pour mériter à celui qui dispose. C’est du cornélien. Celui ou celle d’âme, on voudrait le saint, mais ça n’existe pas. Sache que les quatre prélats de l’église chrétienne de Madagascar avec la « Manolotrony  »  auraient dû renverser le régime actuel tout en ayant organisé un soi-disant « réconciliation » et formulé un fameuse   tout en ayant organisé une formeuse  « Feuille de route » visant instaurer un gouvernement transitoire sans la Haute Cour Constitutionnelle (HCC) et la commission électorale nationale indépendante ( CENI ).Quant au sain d’esprit, c’est technocrate. Loin s’en faut d’espèce de renard de Directeur de Romy R.            

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