Trafic d’espèces protégées : DES SANCTIONS ENCORE INEFFICACES

Les sanctions actuelles contre les trafiquants d’espèces sauvages à Madagascar restent insuffisantes, ce qui contribue à l’intensification du trafic. L’Alliance Voahary Gasy, une organisation de la société civile engagée dans la protection de l’environnement à Madagascar, appelle à des sanctions plus sévères et à une transparence accrue des enquêtes pour dissuader la corruption et améliorer la gestion environnementale.

Dans une communication conjointe avec le Ministère de l’Environnement, il a été révélé qu’au premier semestre 2024, 26 cas de trafic impliquant 5383 tortues, 48 lémuriens et des centaines de baobabs nains ont été interceptés. Malgré ces interceptions, le trafic persiste en raison de la légèreté des sanctions.

De l’autre côté, le Ministère de l’Environnement intensifie ses efforts pour démanteler un réseau international de trafic de flore et de faune sauvage. Il sollicite le soutien de tous pour renforcer la lutte contre ce fléau et protéger la biodiversité unique de Madagascar.

Andry RAFIDINIRINA

Une réflexion sur “Trafic d’espèces protégées : DES SANCTIONS ENCORE INEFFICACES

  • 17 septembre 2024 à 7h17
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